TENTATIVE DE DÉSTABILISATION AVORTÉE DU KAZAKHSTAN PAR L’OTAN. ET LA RUSSIE LA TIENT À L’OEIL…
TENTATIVE DE DÉSTABILISATION AVORTÉE DU KAZAKHSTAN PAR L’OTAN. ET LA RUSSIE LA TIENT À L’OEIL…
Au vu du développement de la situation géopolitique mondiale, tout porterait à croire que les USA et ses États-vassaux de l’OTAN ne seraient pas disposés à donner quelles que garanties de sécurité que ce soient à la fédération de Russie, mais qu’ils seraient plutôt passés aux menaces directes contre celle-ci, plus la date du 10 janvier 2022 censée marquer l’ouverture des pourparlers entre les USA et la fédération de Russie à Genève s’approche.
Cela s’illustre parfaitement bien de par leur énième tentative avortée de déstabiliser le Kazakhstan, et par ricochet, la Russie elle-même qui se trouve être leur véritable cible.
Ex-république soviétique faisant partie de la « Ligne rouge » à ne pas franchir de Vladimir POUTINE, où vivent des millions de Russes, le Kazakhstan riche en minéraux dont principalement le pétrole et le gaz, est vital pour les Russes.
De surcroît, voisin de « l’Étranger proche » de la Russie, où celle-ci, dispose par ailleurs de gros intérêts économiques et stratégiques, dont notamment l’un de ses centres de lancement des engins spatiaux. À savoir, le Cosmodrome de Baikonour. Le plus ancien au monde.
Tentative avortée, parce la Russie a tôt fait d’y envoyer dans le cadre de l’OTSC (Organisation du Traité de Sécurité Collective), d’importants moyens militaires et de forces de réaction rapide en vue de neutraliser les terroristes étrangers commandités par l’OTAN, bien infiltrés selon leur traditionnel mode opératoire parmi les vrais manifestants à la hausse du prix du gaz-pétrole liquéfié, tel ce fut autrefois le cas en Syrie, en Irak et en Libye.
La Russie qui ne fait aucun mystère de ses intentions et de sa détermination par rapport à ses exigences en matière de sécurité dans son « Étranger proche », a déclaré qu’au moindre début d’attaque de la coalition ukraino-otanienne contre le Donbass, sans même avoir besoin d’envoyer un seul soldat en Ukraine, elle expédiera des centaines de missiles de croisière Kalibr sur les positions des forces armées ukrainiennes et de leurs mercenaires étrangers déployés dans ce pays frère qui compose désormais avec ses ennemis.
Ainsi, la présence de plus de 40 000 soldats amassés par la Grande-Bretagne, le Canada et l’Oncle Sam ne changeraient rien du rapport de forces sur le terrain, à l’issue de ces tirs dévastateurs qui créeraient, on se l’imagine bien : un véritable désarroi dans les rangs des Ukrainiens et de leurs nouveaux protecteurs otaniens.
Car, comme l’OTAN le sait déjà pour avoir été confrontée à leur efficacité en Syrie, lorsqu’en 2015 un salve de 26 missiles Kalibr lancés depuis la mer Caspienne par des petits navires de guerre russes, dont la frégate Daghestan et des corvettes, volèrent par-dessus les bases militaires illégales américaines établies en Syrie sans que ceux-ci ne les détectent, avant d’aller pulvériser les positions de leurs terroristes de Daech, il n’existe rien à leur opposer.
Signalons au passage que depuis 5 jours, le groupe naval d’attaque du porte-avions américain en mer Méditerranée entre Naples et Malte, est à la recherche du sous-marin russe tueur de sous-marins Novorossiysk, surnommé « Trou noir » qui, compte tenu de la date de son passage du détroit de Gibraltar, est certainement à portée idéale pour détruire tout le groupe à lui tout seul.
Lanceur d’engins équipé d’une centaine de missiles, et brouilleur des systèmes sonores des équipements des Otaniens dont les radars ont été aveuglés et ne voient plus que du noir.
Tous les moyens techniques navals et aériens (dont 3 avions anti-sous-marins) ont été déployés par l’OTAN pour le localiser, mais en vain. Il est introuvable.
En d’autres termes, pour que les choses soient claires, les radars des USA et ceux de leurs subordonnés de l’OTAN s’avèrent souffrir de sérieuses insuffisances technologiques pour pouvoir détecter et localiser le fameux « Tueur de sous-marins » russe, qui leur est visiblement passé entre les jambes.
De sources indépendantes, il en ressort que le Novorossiysk passé inaperçu entre les mailles des radars otaniens, se trouverait déjà en lieu sûr dans la base navale russe en Syrie.
Cela s’appelle : démonstration de force assortie d’un sévère avertissement à l’ennemi potentiel.
Un adage kongo dit littéralement, je cite : « celui/celle qui est caché(e) est plus malin(e) que vous », fin de citation.
Autrement dit, la personne dissimulée qui observe à votre insu vos moindres faits et gestes, la capacité à n’importe quel moment si nécessaire, d’en finir avec vous.
Il y a gros à parier que, si un seul missile de croisière américain Tomahawks décolle d’un des croiseurs de ce groupe d’attaque en direction d’un des pays amis protégés de la Russie, il serait intégralement détruit dans les minutes qui suivront. Y compris, si jamais la logique de guerre l’imposerait, les 2 sous-marins nucléaires de l’US Navy qui l’accompagnent.
Franchement, eu égard à toutes les raclées militaro-technologiques que leur infligent de la plus belle manière les Russes au cours de ces dernières années, les Va-t’en-guerres de l’OTAN feraient mieux de réfléchir à deux fois, plutôt que de continuer de jouer à l’insensé vers une éventuelle voie suicidaire.
Ce n’est la vache qui beugle le plus fort qui a le plus de lait.
Ainsi, à la lumière de ce à quoi nous assistons avec les différents épisodes mettant aux prises Russes et Otaniens dans les mers et dans les airs, le proverbe susmentionné résume parfaitement bien ce qu’est en réalité l’arrogante et bavarde OTAN.
À bon entendeur, salut.
/Peps L./
2022-01-08